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    "Enseignement ou propagande" est basé sur un livre en préparation dont la parution a été retardée parce que qu’il sera beaucoup plus long et général que prévu (il ne se limitera pas au roman prévu dans un pays imaginaire) ;  livre où l'on parle de scandales dans l'Institution d’Education du dit pays imaginaire, Institution qui y avait remplacé, on comprend pourquoi, le Ministère de l'Instruction Publique.

     

    Il y est question de l'endoctrinement forcené qui y était fait depuis plus de trente ans par tous les moyens, les plus lâches et les plus iniques, sur les élèves autant que chez les enseignants. Par exemple l'embauche de certains enseignants pas très diplômés (i.e. sans concours) mais "pensant bien", dont l'un était un ancien boxeur reconverti un peu en "homme de main" de l’administration régionale d’enseignement (équivalent du rectorat).

     

    Le premier article met en présence deux enseignants imaginaires appelés "adjoints d'enseignement", dont le dit boxeur, qui avaient organisé, dans les classes d'un lycée public et juste à l'avant veille d'une élection présidentielle (je dis bien l'avant veille du scrutin officiel!), un vote où l'on demandait aux élèves de dire pour qui ils voteraient s'ils étaient majeurs, ou bien, s'ils étaient mineurs, pour qui votaient leurs parents...

     

    Le dépouillement eut lieu dans les classes le jour même, pendant que le directeur du lycée (pourtant prévenu de la chose par un professeur hostile à la politique au lycée), "faisait la sieste"...et ne pouvait être dérangé (répondit son épouse au professeur-trouble fête). Les imprimés donnés aux élèves étaient anonymes, mais on sait très bien que les enseignants reconnaissent l'écriture de chaque élève...

     

    Le professeur hostile à la politisation des établissements publics avait bien averti les deux adjoints d'enseignement qu'il ne laisserait pas faire la chose; mais les deux enseignants indélicats, très bien vus du rectorat, passèrent outre. Après le dépôt de témoignages du vote à la garde civile le lundi matin, par le professeur respectueux de la laïcité de l'Ecole, l'ancien boxeur, fou de rage d'avoir été pris la main dans le sac, annonça au dit enseignant qu'il serait ainsi définitivement exclu de toute communication avec tous les collègues du lycée (et même de toute la région) et que personne ne lui adresserait plus la parole (il faut ajouter que ces deux adjoints d'enseignement se réclamaient d'idées et d'un parti qui faisaient tout pour lutter contre l'exclusion et la discrimination...); cependant l'adjoint d'enseignement-ancien boxeur, quelques jours après, préféra tout de même aller prudemment déclarer à la dite garde civile qu'il regrettait ce qui s'était passé  et qu’il s'excusait. En fait de regrets... deux mois après, les deux adjoints d'enseignement cherchèrent à accroître leur vengeance, plutôt mesquinement d'ailleurs, en distribuant, le jour de la petite cérémonie de départ en grandes vacances, un texte dénigrant le professeur qui avait su rester digne de son poste de fonctionnaire d'une Institution Publique, où la politique est aussi immorale qu'interdite; et ils distribuèrent ces papiers dans les casiers des enseignants et professeurs quelques minutes juste avant que le directeur du lycée n'entame son discours de fin d'année scolaire, afin que le professeur mis en quarantaine n'ait pas le temps de répondre au dit papier le dénigrant; le directeur fit même plus: à la rentrée des classes il fit enlever tous les casiers- boîtes à lettres des enseignants et professeurs, sous prétexte qu'on allait installer des casiers plus modernes (ce qui dura près de deux mois...); ainsi le professeur qui avait voulu rester honnête ne put pas répondre aux attaques qu'il jugeait aussi lâches que de mauvais aloi. Pour la petite histoire, dans ce pays imaginaire, la garde civile n'avait pas voulu recevoir un dépôt de plainte officiel, au motif que le nouveau juge départemental responsable d'un tel délit venait d'être nommé par le nouveau président de la République, à qui le fameux vote n'était pas défavorable... et que dans la garde civile, les mesures de rétorsion étaient exemplaires dans ce pays là. Enfin, quatre mois après, l'ancien boxeur adjoint-d'enseignement, apprenant que le professeur qui avait soulevé l'affaire savait très bien que le dit adjoint d’enseignement avait manqué de courage au point d'aller hypocritement "pleurer" à la garde civile (pour ensuite continuer à se venger), frappa le professeur récalcitrant, lequel professeur eut le tort de riposter. En effet, bien qu’un peu plus blessé que l'ancien boxeur, ce fut ce dernier qui fut accompagné officiellement chez le médecin officiel du lycée par l'infirmière du lycée, qui choisit de ne pas faire son devoir pour probablement ne pas aller à l'encontre de l'état d'esprit qui régnait au lycée, patronné par le Syndicat National de l'Enseignement Socialiste, très puissant dans ce pays imaginaire ; bien sûr les deux adjoints d’enseignement, ainsi que d’autres enseignants de connivence, allèrent dans la ville colporter des mensonges, disant que c’était le professeur resté honnête qui avait frappé l’ancien boxeur ! Par la suite ils le dénoncèrent même au « pouvoir éducatif régional » (équivalent du rectorat) et le nouveau proviseur en profita pour truquer le dossier du professeur mis en quarantaine.   

     

     Suite au prochain article sur ce pays imaginaire et à bientôt !

     

     

     


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